photo La fraternelle - concert : Surnatural Orchestra »Clameurs

La fraternelle - concert : Surnatural Orchestra »Clameurs

Musique, Concert

Saint-Claude 39200

Le 27/09/2025

Martin Gilloire / trombone Camille Secheppet / sax alto, clarinette Christelle Séry / guitare ?Clea Torales / flûte, sax alto ?Fabien Debellefontaine / sousaphone Fabrice Theuillon / sax baryton ?Fanny Martin / flûtes ?Guillaume Christophel / sax ténor & soprano ?Guillaume Dutrieux / trompette ?Hanno Baumfelder / trombone Hector Léna Schroll / trompette ?Ianik Tallet / batterie ?Jeannot Salvatori / sax alto ?Julien Rousseau / euphonium, trompette ?Martin Daguerre / sax ténor ?Morgane Pommier / trombone basse Nicolas Stephan / sax alto Anne Palomeres / lumières, régie générale Rose Bruneau & Zak Cammoun / son Le loufoque, libre, horizontal et fantasque Surnatural Orchestra, collectif aguerri de 17 musicien·ne·s oscillant entre big band jazz et fanfare, revient à La frat’ avec Clameurs ! À l’image de ses nombreuses autres propositions scéniques, ce répertoire s’est écrit et se joue comme un concert spectacle organique, surprenant, en mouvement perpétuel, fait de transes étranges et surréalistes, parfois méditatives parfois expiatrices… Tous les aspects de la prestation – la musique, le son, les lumières, l’espace, le public – ont été pensés comme des matières à sculpter[...]

photo Tempest Project

Tempest Project

Dijon 21000

Du /00/1e16 au //099

Peter Brook a plusieurs fois monté La Tempête. Pour cette création de 2021, initiée au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, Marie-Hélène Estienne et lui ont opté pour leur adaptation de la pièce de William Shakespeare, la dernière écrite par le célèbre dramaturge, selon eux. Cette version est voulue concentrée, « écourtée des mises en scène compliquées ou somptueuses » attachée à l'oeuvre originale. « Libre », le mot de la fin, résonne en filigrane et en écho. En effet, La Tempête est un conte où rien ne peut être pris à la lettre ; c'est une énigme traversée par l'idée de liberté recherchée aussi bien par l'esprit Ariel, l'esclave Caliban que le Magicien Prospero, confinés à leur façon sur une île, dans le passé voire à l'intérieur d'eux-mêmes. Ce n'est pourtant pas l'art de la magie qui libère Prospero, dévoré par le désir de se venger de ceux qui l'ont trahi et forcé à l'exil, mais le pardon notamment quand il verra l'amour que ressent sa fille Miranda pour le fils de son ennemi juré, le roi de Naples.